Profitez exceptionnellement d'un accès à l'inscription Meetic Gratuitement ! Inscrivez-vous maintenant pour en profiter.
Important : pensez bien à valider votre adresse email après votre inscription pour être sûr de profiter de toutes les fonctionnalités offertes par Meetic ;)
Retranscription texte :
Les avantages de draguer dans les petites villes
Alors, je n’ai jamais vécu à Paris, même si j’y ai passé beaucoup de temps parce que je donnais des coachings à Paris et que j’ai beaucoup d’amis à Paris.
J’ai eu des copines à Paris en relations longues donc, j’ai eu l’occasion d’expérimenter les filles parisiennes.
― C’est vrai que c’est intéressant parce que tu as vraiment une expérience, on va dire, petite moyenne ville avec Lille, Tours, Saint-Étienne.
― Exactement.
― Moi plutôt, grande ville finalement avec Paris.
― Du coup, l’expérience que j’en ai, pour toi, je ne sais pas si tu as eu l’occasion de draguer dans les petites, moyennes villes, etc.
― Quand j’étais venu chez toi à Tours, on avait dragué à Tours dans le centre-ville.
― Vite fait, ouais.
― Vite fait. Ça c’était plutôt bien passé.
― Ouais, mais ça se passe bien globalement dans les petites villes.
L’avantage des petites villes, c’est que les gens n’ont pas forcément, les filles en l’occurrence, parce que nous, on drague des filles, évidemment, l’habitude de se faire accoster et mal accoster, notamment parce qu’il y a souvent moins de cas sociaux.
Du coup, elles prennent l’approche un peu entre la surprise.
― Une bonne surprise, finalement.
― Ouais voilà . Elles sont contentes qu’on vienne leur parler.
Alors, pas toutes. Il y en a qui ne comprennent pas trop la démarche.
En fait, c’est un peu cet effet-là . Dans la rue, quand on est dans une grande ville, elles savent pourquoi on vient.
Souvent, ça ne les surprend pas.
Du coup, elles peuvent avoir une réaction un peu polie, mais distante, etc.
Dans les petites villes, en fait, on a plus ce côté, comment je pourrais dire, binaire où il y a les filles qui ne comprennent pas qu’on vient les aborder parce qu’elles n’ont pas l’habitude, donc elles nous envoient balader.
Et il y a celles qui parce qu’elles n’ont pas l’habitude de recevoir un compliment dans la rue, enfin voilà , elles sont super contentes qu’on les aborde et elles ont un gros sourire et tout ça.
Dans ce cas-là , en général, ça se passe très bien.
Même si cependant, ce n’est pas parce qu’elles ont un grand sourire et qu’elles sont très contentes qu’on les aborde qu’elles sont forcément intéressées.
Des fois, c’est la démarche qui leur plaît, mais pas forcément la personne qui fait la démarche.
― Moi, j’ai ressenti ça aussi en venant à Tours et à Saint-Étienne que les filles, effectivement, ont moins l’habitude d’être abordées, ne savent pas trop comment réagir finalement.
― C’est ça.
― Globalement, elles sont quand même contentes dans la majorité des cas, vu qu’elles ne sont pas habituées donc, ça flatte évidemment l’ego et si c’est bien fait, en tout cas.
― 80 % des filles qui sont plutôt ravies qu’on les aborde si c’est bien fait, évidemment.
― Par exemple, à Saint-Étienne, on a croisé pas mal de filles qui nous ont souri, qui nous ont regardés.
À Paris, ce n’est pas spécialement le cas.
En tout cas, moi.
― L’ambiance est globalement meilleure dans les petites villes.
Il y a moins de délinquance.
Donc forcément, l’ambiance est meilleure.
― Plus l’ambiance.
― C’est ce que j’allais dire, ça fait plus grand village.
― C’est ça.
― Puis aussi, on passe moins inaperçu dans les rues.
Je ne sais pas si tu as remarqué. D’ailleurs, je crois que c’est toi qui m’as fait remarquer ça.
C’est que quand on se balade dans la rue, on a plus facilement des haussés, des sourires, etc.
Alors que dans une ville comme Paris où les gens ont l’habitude de voir mille et un visages tous les jours, ils ne calculent personne.
En fait, ils ne calculent personne. Ils passent devant.
On est le 3000ᵉ visage que la personne a vu.
― Est-ce que l’influence du nombre aussi fait que… ?
― On est facilement plus remarquable.
Du coup, si on croise une fille et qu’il y a un échange de regards, il y a déjà un rapport qui se crée, un échange de regards et un échange de sourires.
― Par exemple, à Paris, on est tellement nombreux.
Enfin, il y a tellement de concurrence que les filles, finalement, ne regardent pas spécialement les mecs.
Parce que, même si elles ne le regardent pas, elles se disent qu’il y en aura un autre derrière qui sera peut-être aussi beau.
― Non, je ne pense pas que ce soit par rapport à ça, parce que je pense même que dans la rue, il n’y a pas tellement de concurrence, même à Paris, parce qu’il y a peu de gens qui abordent.
Je pense que c’est surtout l’habitude de la foule qui fait que, en fait, on est le 3000ᵉ visages de la journée qu’elle voit et qu’au bout d’un moment, ça ne se calcule plus.
Alors que dans une ville de taille moyenne, on va dire comme Saint-Étienne ou Tours, Lille un peu moins puisque Lille c’est un peu entre les deux.
C’est un peu entre Paris et une ville comme Saint-Étienne, même si la différence du nombre d’habitants n’est pas si grande.
Mais c’est quand même une ville assez dynamique avec beaucoup de gens dehors.
Du coup, ils ont davantage l’habitude de croiser du monde, de croiser des hommes qui vont les regarder, etc.
En fait, ça va paraître anodin.
Alors qu’une fille sur Saint-Étienne, elle ne va pas forcément avoir l’habitude d’être regardée par un mec qui la croise.
Surtout s’il est mignon, elle va avoir tendance à le regarder, à sourire et lui envoyer plus facilement un eye.
― Même être plus ouverte finalement à la rencontre, sachant peut-être qu’il y a moins de probabilité pour elle d’avoir une opportunité globalement.
― Oui, globalement, puisqu’il y a moins d’opportunités sur internet du fait que le…
― Si on parle un peu technique, je dirais que le taux de conversion est bien meilleur dans les petites ou moyennes villes que les grandes villes.
― Ah oui, normalement, il doit être bien meilleur.
Les inconvénients des petites villes
Après le désavantage des petites villes, c’est que d’une part, on est grillé plus facilement.
D’autre part, on ne peut pas faire autant de nombres qu’à Paris.
Donc au final, si le taux de conversion est, admettons, un sur trois au lieu d’un sur huit à Paris, mais qu’on peut faire que trois approches par jour alors qu’à Paris on peut en faire 40, ce n’est pas forcément rentable.
Enfin, si on compare la drague à quelque chose d’assez mécanique, assez business, ce n’est pas forcément plus rentable parce qu’il y a un meilleur taux de conversion.
En revanche, l’avantage, c’est que si on est un mec un peu frileux, enfin dans le sens où on n’a pas une très grande résilience au rejet, on n’est pas un peu chien fou à être capable d’aborder dix fois, vingt fois par jour, ça peut être plus adapté de vivre dans une ville de taille moyenne où il y a quand même des jolies filles.
Il y a plein de villes en France où il y a beaucoup de jolies filles dans les villes de taille moyenne.
On parlait de Nancy, Montpellier.
Bref, il y a un tas de villes. Lille dans une certaine mesure, Toulouse, etc. qui ne sont pas des villes de taille moyenne, qui sont déjà de grandes villes, mais pas des villes énormes comme Paris.
Du coup, si ça peut être plus idoine de vivre pour quelqu’un qui n’est pas dans le style j’aborde tous les jours un maximum de filles.
Juste une fois de temps en temps, ça peut être mieux.
L’autre désavantage aussi, c’est que pour avoir vécu à Tours, surtout quand je sors faire mes courses ou que je sors en centre-ville, il est quand même assez rare en semaine, en jour de semaine avant 18 heures on va dire, de croiser beaucoup de filles dans mon quotidien.
Alors qu’à Paris, c’est vrai que des filles dans son quotidien, on en croise tous les jours pratiquement.
Ça dépend des quartiers où on vit sans doute, mais moi, quand je bougeais à Paris, j’étais souvent vers la place d’Italie, etc.
Je croisais quand même souvent des filles sans être en session, juste en baladant.
― Après, on en parlerait aussi tout à l’heure, c’était par rapport à la tranche d’âge.
Dans certaines villes, par exemple à Saint-Étienne, on aura beaucoup de très jeunes filles, jusqu’à la vingtaine.
Ce sont des étudiantes finalement.
― Je dirais oui, entre 18, parce qu’en dessous, c’est interdit techniquement. Mais entre 18 et 23 ans.
― Après, ce sera directement, on va dire du 40.
― 35 minimums et encore pas un an.
― Entre les deux, c’est compliqué de rencontrer des filles.
― Oui, parce que les villes sont moins dynamiques.
Donc, il n’y a pas forcément d’universités pour faire des études supérieures, genre bac+5, etc.
― Donc ça, c’est vraiment l’avantage du coup des grandes villes où on a vraiment toutes les tranches d’âge et on a vraiment le choix par rapport à ça.
― Ou alors quand on a une trentaine d’années, soit on va vers les plus jeunes.
― D’où l’importance de choisir aussi sa ville si on cherche à bouger et à faire des rencontres.
Si on est dans une tranche d’âge et qu’au final, dans la ville, il n’y a pas vraiment cette tranche d’âge-là , c’est un critère de choix aussi.
― Ça peut être un critère de choix. Après, on peut être dans une ville de taille moyenne et c’est mon cas, et être proche d’une ville de taille plus grande.
― Du coup, Lyon.
― Saint-Étienne, c’est à 50 kilomètres de Lyon.
C’est pour ça que j’ai choisi Saint-Étienne, c’est que ce n’est pas loin de Lyon.
Donc si j’ai envie de donner des coachings, c’est pratique d’aller à Lyon pour donner des coachings parce qu’il faut quand même être dans une grande ville sinon, c’est difficile de cocher parce qu’on fait des allers-retours sans arrêt.
C’est un autre désavantage des petites villes.
C’est qu’on est facilement grillé à faire le tour du centre-ville qui n’est pas très grand, alors qu’une ville comme Lyon, on peut aller dans plusieurs endroits et plusieurs quartiers.
On a le choix au niveau des approches et tout ça.
C’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai choisi Saint-Étienne, c’est pour être dans une ville de taille moyenne, pour être tranquille au cours de la semaine.
Et puis, si j’ai envie d’aller sur Lyon à un moment pour aller faire une session ou parce que j’ai un rencard et j’y vais une heure avant pour aller faire une session, c’est possible.
Ça, c’est un gros avantage que je n’avais pas quand j’étais à Tours, parce que c’est beaucoup plus enclavé.
C’est beaucoup plus isolé qu’on n’aura pas si on est dans une ville comme Clermont-Ferrand, par exemple.
C’est cet avantage-là quand on est dans une ville comme Saint-Étienne et j’imagine dans quelques autres villes qui ne sont pas très loin de Paris.
― Je pensais aussi, du coup, aux rencontres en ligne.
Parce que là , par exemple, je me suis mis sur Tinder. Et c’est vrai que sur Tinder, il n’y a pas énormément de profils sur Saint-Étienne, d’où aussi l’importance d’avoir une grande ville comme tu disais à côté.
― À proximité.
― À proximité où on peut du coup se géolocaliser par exemple à Lyon et matcher à Lyon et du coup après faire la rencontre à Lyon.
― Il y a aussi deux types de game si je voulais revenir par rapport à ça.
Le game dans les petites villes
C’est que dans les petites villes, on peut plus facilement poser le game, c’est-à -dire que les filles sont moins stressées, elles sont plus relaxes.
― Il y a aussi une chose, c’est qu’on peut aussi les recroiser assez souvent.
― On peut les recroiser assez souvent.
Par exemple, regardez dans les magasins, parfois dans la journée il n’y a personne.
On peut vraiment facilement aller aborder les vendeuses sans être stressée par une cliente qui est derrière.
― Il y a moins de contraintes de temps, moins de stress.
Ce qui explique aussi pourquoi il y a un taux de rentabilité.
Je n’aime pas trop ce terme-là .
― De conversion, enfin voilà .
― De conversion, de rentabilité qui est meilleure sur l’approche numéro de téléphone et puis l’approche rendez-vous, numéro de téléphone, rendez-vous, etc.
Le contexte joue beaucoup finalement dans ces résultats.
― J’aurai une question du coup à te poser.
Est-ce que d’après toi, il faudrait modifier un peu son jeu de séduction ?
Est-ce que le jeu de séduction est différent dans une petite ville plutôt que dans une grande ville ?
― Il y a forcément une petite calibration à faire puisque comme je te disais, on peut être amené à recroiser des filles qu’on a abordées dans la rue et on les recroise par hasard.
Donc, je pense que c’est important d’être poli, de bien s’y prendre aussi.
Même si la réaction est négative, ne pas surréagir. Juste dire : « désolé de vous avoir dérangé.
Ce n’était pas mon intention.
Au revoir. » Puis voilà quoi.
― Puis sous la crainte aussi, peut-être que tu abordes une amie à elle dans le futur.
Imaginons. Puis au final, je ne sais pas, les probabilités sont quand même assez faibles.
Mais c’est possible dans une petite ville.
― On peut aussi privilégier un style de game « moins direct » aussi dans une petite ville, alors que la grande ville, c’est vraiment, on n’a pas le temps.
La fille, on est sûr de ne pas la croiser, bam, il faut y aller.
― J’ai l’impression que quand j’aborde dans une petite ville, c’est comme si j’abordais dans un parc à Paris par exemple.
― Ouais, c’est vrai que ce n’est pas faux.
Ça ressemble plus, c’est plus un game type parc.
Après, ça dépend. Il y a des filles qui quand même sont pressées.
Ça peut être un samedi après-midi.
― Un peu speed.
― Dans une ville de taille moyenne, il y a quand même pas mal de monde, donc ce sera plus la configuration de la grande ville.
Mais c’est vrai que si on croise en semaine, après le travail à 18 heures, une fille qui se balade, ce sera plus proche du parc finalement.
Pour ceux qui vivent dans une grande ville comme Paris, ce sera davantage proche du parc de la drague en parc calme et posé, que de la drague en plein centre-ville, l’après-midi à 15 heures.
Conseil de drague pour approcher dans les petites villes
― Du coup, tu conseilles quoi toi ?
Imaginons que tu abordes une fille à Saint-Étienne.
Est-ce que tu as un temps, une durée où tu te dis par exemple, je vais mettre juste cinq minutes pour aborder la fille ?
Parce que je sais que dans les grandes villes, il faut être en général, c’est cinq minutes, dix minutes, pas plus pour essayer de choper le numéro.
Après, dans le meilleur des cas, de faire un instant date.
Mais on part déjà sur la prise de numéro donc, cinq à dix minutes.
Est-ce que dans les petites villes, tu te dis que je peux prendre plus mon temps ?
Ou est-ce que tu es aussi speed ?
― Moi, j’ai tendance à être quand même rapide parce que déjà ça me permet d’avoir moins de conversation à faire.
Plus c’est rapide et mieux c’est au niveau de la conversation.
Si on prend le numéro au bout de cinq minutes au lieu de dix, ça fait cinq minutes de conversation en moins. Sachant que des fois, quand on rencontre une nouvelle fille, on ne sait pas trop quoi lui dire.
Donc généralement, entre cinq et dix minutes, c’est bien.
Après, là où il ne faut pas procrastiner, je pense que c’est plus derrière.
Alors après, ça va se passer assez calmement.
C’est-à -dire qu’on va aborder tranquillement.
On va avoir le temps d’installer une conversation, ce qui n’est pas toujours le cas dans une grande ville.
― Est-ce que tu essaies quand même d’avoir un instant date ?
― J’avouerai que je ne drague pas trop dans les petites villes.
Moi, ce que je fais, c’est que comme je suis dans le centre, quand j’ai envie de faire une pause de 30 minutes, je vais me balader et je rentre chez moi après.
Si je croise des filles pendant ma pause, pendant ma balade de 30 minutes, je les accoste, je prends le numéro et je repars.
Souvent, je dis que je faisais une pause au boulot, je retourne au boulot.
En fait souvent, si je veux partir en instant date, il faut déjà que j’aie envie de faire des instants dates avant d’aborder.
J’ai rarement le réflexe, c’est peut-être un défaut, je n’en sais rien.
Mais j’ai rarement le réflexe de me dire tiens, vu qu’elle a l’air dispo, je vais lui proposer un instant date.
En général, quand j’aborde c’est soit, je fais une session, donc je vais essayer d’aborder pas mal de filles et rentrer chez moi.
Après si c’est un dimanche après-midi et que je me balade dans ma ville ou dans une autre ville, je n’ai rien de spécial à faire, je n’ai même pas spécialement prévu d’aborder et que je croise une fille qui ne fait rien de spécial, là , je vais me dire tiens, pourquoi pas lui proposer un rendez-vous instantané.
Mais ce n’est pas le truc spontané auquel je pense d’abord.
Moi, quand j’aborde généralement, c’est pour prendre le numéro.
Autres avantages des petites villes
Par contre, pour revenir à ce qu’on disait, c’est vrai que la rencontre est beaucoup plus posée.
Et aussi l’autre avantage de la drague dans ces petites villes, c’est qu’on peut relancer et voire très vite.
Contrairement aux grandes villes où des fois ça peut être plus compliqué parce qu’elle habite à 4 kilomètres ou 10 kilomètres.
LÃ , souvent on est dans un petit entre soi.
Ce que tu avais remarqué aussi, c’est que finalement, la fille habite à un max de kilomètres.
― Ouais, 2 ou 3 kilomètres. Tu as raison. C’est ça.
― Même pas. Très souvent, elle est à 500 mètres.
Enfin, si on est dans le centre-ville et qu’elle est aussi dans le centre-ville, elle est peut-être à 500 mètres, il y a les cafés à côté, donc c’est assez facile logistiquement de se revoir.
Si la fille est un minimum intéressé, on peut la revoir très vite.
Et c’est là où justement ça peut être intéressant.
Et à partir de là , on peut poser davantage son game parce qu’on est dans un contexte plus approprié que la rue où c’est vrai qu’il faut quand même aller vite.
Même si on est dans une ville où il y a moins de stress, où il y a moins de flux, il faut quand même aller relativement vite.
C’est consubstantiel à la drague de rue.
Mais par contre logistiquement, c’est facile.
Ce qui est encore plus facile, c’est de la ramener chez soi après.
― C’est ça.
― Parce que quand on est dans une grande ville, si tu es à Paris par exemple, tu habites le 14ᵉ, tu donnes rendez-vous à Saint-Michel, pour la ramener chez toi après, c’est un peu le parcours du combattant.
― Parfois, tu n’as pas de métro tard dans la nuit.
― Par exemple. Alors que là , tu as tout à pied.
Et ça, c’est un sacré avantage.
Par contre, c’est vrai que ça devient compliqué quand tu dragues des filles qui sont à l’extérieur de ta ville.
Par exemple, à Lyon, il faut soit faire une, deux, voire trois rendez-vous pour créer assez de rapports, pour qu’elle te fasse confiance et après elle vient à Saint-Étienne.
Et là , tu l’invites de tout de suite chez toi.
― Après, encore une fois, ça va dépendre des filles puisqu’il y en a qui vont être plus ouvertes à un premier rendez-vous. C’est toujours des tests.
― Pas le premier rendez-vous.
Mais il y en a beaucoup que j’ai ramené le deuxième rendez-vous, c’est-à -dire que je fais le premier rendez-vous à Lyon.
Ça se passe bien et après, très vite, je lui propose qu’on se voie à Saint-Étienne, qu’elle vienne chez moi.
Très souvent, les filles acceptent d’ailleurs.
Si, le premier rendez-vous s’est bien passé et qu’on propose assez vite en général, les filles acceptent.
Mais il y en a, ça leur pose problème.
Après, ce n’est pas très grave, on fait le deuxième rendez-vous à Lyon et puis basta.
Puis en premier rendez-vous, on peut aussi tomber sur une fille qui a sa propre logistique et aller chez elle.
― Est-ce que tu les testes pendant le rendez-vous pour voir si elles veulent aller plus loin, directement ou pas ?
Ou est-ce que tu dis non ?
Je fais mon premier rendez-vous.
Je ne couche pas avec elle de toute façon.
― Je le sens très vite.
En fait, c’est au feeling.
C’est très vite lors de la première demi-heure, voire de la première heure, tu sais à peu près ce que tu vas obtenir.
En général, avec le temps et l’expérience, ce n’est pas trop compliqué de déduire si la fille est venue pour coucher ou pas.
Après, dans la configuration où je vais à Lyon, donc je n’ai pas vraiment de logistique, mon optique c’est surtout de faire une bonne date, d’essayer de passer au stade physique, enfin d’initier le contact physique, les kinos, un peu de sexualisation, pour préparer le terrain pour la seconde date où là je vais lui proposer de venir chez moi.
C’est le plan A.
Après, il peut y avoir un plan B si je sens que la fille est très introvertie sexuellement.
Là , je vais me dire que je vais essayer de faire plutôt un deuxième rendez-vous à Lyon et on verra comment ça se passe. Il faut toujours s’adapter.
Ce n’est pas un schéma qu’on répète sur chaque fille.
Il y a une certaine calibration à faire, mais voilà .
Enfin bref, il y a des avantages et des inconvénients en somme.